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découverte d'un travesti

Ecrit par Coralie
Parue le 17 mai 2013
Il y a 2 commentaires pour cette histoire


Cette histoire érotique a été lue 16276 fois | Cette histoire erotique a une note de : 15.4/20

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La découverte de ma féminité,
ou comment je me suis initié à me travestir


Le point de départ de cette orientation, même en fouillant ma mémoire, reste flou. Il y eût cependant quelques événements ou moments qui, je crois, ont été marquants.
Je me souviens d'un camarade de collège, un ami. Il s'appelait Fabrice, blond, sans être androgyne il n'était pas très viril non plus. Et contrairement à beaucoup d'autres petits mecs du collège, lui ne jouait pas les petits caïds, ne s'essayait pas endosser le rôle viril et tonitruant à cet âge du futur homme, un mâle. Il savait se montrer très discret, était mué par une sensibilité sortant de l'ordinaire. Et surtout, il cultivait, sans le savoir vraiment, sans le rechercher, une indépendance d'esprit assez rare à cet âge. Tous ces traits de caractères scella, je pense, notre amitié.
Nous partagions beaucoup de nos espaces de liberté. Nous échangions nos livres et nos avis sur leur auteur. On jouait ensembles. On a tiré tous deux sur notre première cigarette. On s'interrogeait sur les filles. Il y en avait de très jolies dans notre classe. Leurs charmes nous laissaient pas insensibles. Nous étions attirés comme par des aimants sourds à notre raison, et leur jupe ou petit décolleté et leurs regard parfois nous rendaient fous. On s'interrogeait aussi sur nous, notre sexualité faisait partie des discussions du soir ou d'après-midi des mercredis quant nous étions seuls.
Et c'est une obsession d’adolescent au corps en plein changement qui nous valût d'entrer un peu dans l'intimité de l'autre. La longueur de nos pénis. Etions-nous normaux ? Il fallait vérifier comparer. C'était un mercredi après-midi d'un mois de novembre pluvieux. Et froid. Nous n'avions pas le cœur à galvauder, à pencher le nez depuis une terrasse de café. Nous étions dans sa chambre. Elle était accueillante, et il l'avait si bien décoré que j'entrais comme dans un jardin dont la pluie était Fabrice. J'aimais bien ces après-midi-là quand nous étions seuls. Notre confiance ne nous permettait tout. Ou presque. Elle m'a permis beaucoup. L'après-midi dont il est question, je me souviens qu'après en avoir discuté, et pour se rassurer un peu, nous tombâmes d'accord pour baisser nos pantalons et sortir nos ustensiles. Sa chambre, plutôt illuminée par beau temps, se composait d'un grand lit recouvert d'un épais édredon généralement bleue pastelle, un petit bureau sur lequel reposait un ordinateur, des stylos de toutes les couleurs, avec juste coté de hautes étagères envahies de bouquins ou de BD. Face au lit, un grand miroir, au cadre de bois travaillé, regardait l'endormi et ses rêves. Un placard mural dont les portes coulissantes avaient été transformé en une série de trois peintures que je ne saurai jamais qualifiées, garnissait le pan de mur où une porte en chêne ouvrait ou fermait la chambre. Sa chambre était bourgeoise, c'est l'image que j'en avais et qu'il ai gardé. La mienne ressemblait plus à une dortoir d'une place que je laissais en l'état.
Nous déboutonnions nos jeans et bord du lit fîmes glisser nos caleçons. Et primes nos sexes et les comparions. Nous étions normaux, à priori. Instinctivement, je me mis à me caresser. Fabrice m'imita. Nos sexes commençaient à durcir. Un bruit de porte se fit entendre dans la maison. C'était sa grande sœur qui rentrait du lycée, elle avait 16 ans, les portait magnifiquement et savait en user. Avec tous. Ses parents, son frère, ses amies, ses profs. Et il eût un sacré rôle dans mon cheminement. Les premiers sous-vêtements, mini-jupe et autres attributs féminins que j'ai portés, ce sont les siens.

Aussi, je me rappelle que j'étais curieux de découvrir le sexe de mon ami. Sans vraiment penser à plus. Juste le voir, avoir la chance de le voir se redresser en érection, et alors le caresser de la paume de la main. Et parfois, et très rapidement, je fantasmais en osant m'imaginer poser mes lèvres sur son pénis, et juste de le sucer un peu. Déjà, je voulais tester Fabrice. Comment allait-il réagir ? Me rejetterait-il ? Prendait-il finalement plaisir ? Alors jusqu'où irions nous ? Je ne me sentais pas homosexuel, même si, bien sûr après cela il m'arrivait de me poser la question. J'avais juste comme des impulsions, et seul Fabrice entrait dans mes fantasmes, provoquait parfois des élans libidineux, mais insufflés d'une complicité toujours demeurée sans faille véritable et durable. D'autres après-midis où nous fûmes tranquille. Et l'un deux, je lui demandai à ce qu'il me montre la chambre de sa sœur. La si jolie Stéphanie aux cheveux d'un blond dorée. Et par là, percer un peu du secret des filles, et de voler certains que Stéphanie pouvait cacher. Sa chambre était plus classique, un peu typique d'une jeune lycéenne. Un peu bordélique. Je remarquai une petite culotte violette et à dentelles dépassée d'une commode. Je m'approchai du meuble. Les deux premiers tiroirs étaient plein de ses dessous et de sa lingerie. Elle était osée pour l'époque. Et c'est là qu'a eu lieu le premier déclic. Je saisis un tanga tout en broderie blanches et largement échancré, une paire de bas rouge avec des motifs floraux. Et devant les yeux effarés de Fabrice, je les essayai.
Tu ne vas pas faire ça !? Enfin, si t'as envie... Et puis on va voir comment ça te va.
En tanga, paires de bas, et avec un chemisier de coton blanc qu'avait trouvé Fabrice, je me me regardai dans la grande glace de l'armoire. Et je m'étais trouvé sexy, et avais mimé avec plaisir les pantomimes et les postures lascives de certaines femmes, ou même certaines filles dont Stéphanie faisait sans doute partie. J'interrogeai Fabrice qui m'observait sans rien dire. Il n'ouvrît pas la bouche, il vînt se coller à moi, et conduisit ma main droite sur son sexe. Il bandait. Je le masturbais. Son sexe était doux. Il me caressait maladroitement les fesses et glissa ses mains dans mon entre-cuisses. Il posa, sans intention sans doute. Je compris son geste comme une invitation à m'agenouiller et à goûter à son sexe. Il ne tarda pas à jouir. Des larges gouttes de son sperme maculaient mes joues et coulaient dans mon cou. C'était tellement indécent, osé, mais tellement bon.
Épisodiquement, ces expériences se renouvelèrent. Il y avait un cap que nous ne franchirions pas. Il n'y eut jamais de pénétration, ni avec certains jouets avec qui Stéphanie s'amusait sans doute.
Et bien que nous ayons chacun des petites chéries, parfois j'éprouvai le besoin de m'habiller en fille. Fabrice espionnait sa sœur. Il lui arrivait presque toujours de connaître le planning de sa sœur, et l'agenda de ses copines ou le prénom du copain du moment. En surface, à travers des apparences, Stéphanie jouait à la grande sœur, s'adressait à lui avec condescendancs. Elle avait l'expérience. Elle s'était vantée, avec une petite mine de coquine, d'avoir eu dans son tableau de chasse où elle lisait son pouvoir de séduction et sa passion du plaisir et des corps, deux mecs, des jeunes, l'un étant encore puceau. Là quand elle en parlait, elle ne disait pas « c'est un mec... », rayonnante, elle prononça, en prononçant les syllabes « c'est un homme marié de 36 ans, il travaille dans le marketing et les promotions des stars. Il paraissait être un bon photographe. Stéphanie se confiait volontiers à son frère, et lui, innocemment, l'influençait dans ses choix. Il valait mieux tenter celui-ci que l'autre ; il semblait avoir être un plus fougueux, un autre était androgyne qui après quelques enseignements de Stéphanie, pouvait devenir très zélé, et montrait une libido exacerbée. Fabrice l'écoutait, il s’intéressait à habiller les femmes. Quand Stéphanie avait acheté une nouvelle tenue, ou des sous-vêtements très sex, et souvent style “je suis une jolie nana et tu te perdras dans les toiles de mon piège à beaux mecs, facilement macho. Fabrice alors que Stéphanie plus régulièrement voyait l'homme, l'expérimenté qui savait y faire. s'étant fait raconter les deux premières coucheries où l'étudiant métis de la Réunion s'était montré, tel un homme ayant une femme à ses désirs, il lui indiqua un scénario où un homme plutôt chaud comme lui, et selon les dires de sœur avait une queue de près 25 cm en érection., - « Un monstre ! » s'était-elle exclamée – devait prendre une jeune femme déguisée en écolière naïve mais peu farouch. Elle devait se faire prendre dans le salon, tantôt à califourchon sur un fauteuil ou à quatre pattes sur le canapé. Elle joua à merveille, se prît à perdre pieds, à être traitée comme une jeune sorte d'esclave coquine, ou l'un pouvait être le faux père. Je sais, ça peut déranger. C'est ainsi que Stéphanie vivait les choses. Et son regard même sur son beau-père, un quarantenaire, avait changé. Leur tante jouissait d'une belle bastide dans l'arrière pays de la cote Méditerranée, avec une belle piscine, chauffée s'il vous plait. Un week-end d'avril, leur mère travaillait, et le père proposa de passer un séjour dans la bastide de la tante partie en cure. Il avait beau et très chaud. La piscine fit en sensation. Et Stéphanie s'amusa à se mettre les seins, et un bout de tissu noir pour cacher;le reste. Le père avait été ému, ne pouvant tout à fait se défaire des formes si pures, si neuves. Elle s'enorgueillit de d’appuyer sur une brèche, et sa facilité à enflammer était indéniable. Fabrice la photographia plusieurs fois.

Pourtant, un incident changea la donne. Et lui permit de nous utiliser.
Un après-midi, j'étais travesti. J'avais tout emprunter à Stéphanie, même son ma maquillage. J'étais fin prêt dans la chambre de Fabrice, habillée en lycéenne sexy. Nous n'y avions pas porté attention ; la porte était ouverte. Nous ne l'entendîmes pas. Elle me trouva à genoux la jupe retroussée, et suçant son frère. Elle eût le temps de nous filmer et je fus l'objet de nombreux chantage

Si vous êtes intéressés, je vous livrerai bientôt la suite


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